Pendant plusieurs années, Philippe Viossat a travaillé à l’amélioration du dépistage de la trisomie 21. En tant que membre de commissions ou expert à la Haute Autorité de Santé (HAS) et la CNEOF, il a participé à l’élaboration de nombreuses recommandations, lignes directrices ou textes règlementaires sur cette thématique.

L’échographie, un incontournable outil de prévention

Le dépistage de la trisomie 21 est un enjeu de santé publique important, car cette condition génétique peut entraîner des retards de développement et des problèmes de santé. Il existe plusieurs méthodes de dépistage, dont le dépistage combiné, qui utilise des mesures comme la clarté nucale et la longueur crânio-caudale pour estimer le risque de trisomie 21 chez le fœtus.

Philippe Viossat a été impliqué dans plusieurs projets visant à améliorer la méthodologie de ces dépistages et à en évaluer l’efficacité. Il a également participé à l’élaboration de recommandations sur la prise en charge des femmes ayant un risque élevé de trisomie 21, afin de les orienter vers des examens plus approfondis comme l’amniocentèse ou la choriocentèse.

En plus de son travail au sein des commissions, Philippe Viossat a été également impliqué dans l’évaluation des pratiques professionnelles (EPP) dans le domaine de la périnatalité. En collaboration avec les réseaux de périnatalité, il a contribué à identifier les bonnes pratiques et à diffuser les recommandations auprès des professionnels de santé.

En résumé, Philippe Viossat, en tant qu’expert reconnu dans le domaine du dépistage de la trisomie 21, sa longue expérience et sa connaissance approfondie de la question lui ont permis de contribuer activement à l’amélioration de la qualité des dépistages et à la diffusion de recommandations fiables auprès des professionnels de santé.